J’utilise des gourdes depuis fort longtemps d’abord parce que je ne vois pas pourquoi je paierais de l’eau à prix d’or sauf si elle a des bulles que j’apprécie. Mes activités sportives et mes longues marches dans Paris ont fait le reste : je suis une grande fan de l’Eau de Paris !
Choisir une gourde n’est pas simple, surtout depuis que je privilégie les gourdes en métal. Il faut trouver la bonne contenance en fonction de la taille du sac, de l’activité à hydrater, de la température extérieure, de la possibilité de la remplir… Et il faut trouver le bon bouchon, les gourdes ayant la fâcheuse tendance à fuir en position allongée.
J’en ai testé plusieurs modèles, et ai toujours été déçue quel que soit le prix mis. Quand je dois transporter de l’eau sans être assurée de la verticalité de la gourde, j’en viens à prendre une bouteille d’eau en plastique, seule garantie qu’il n’y aura pas de fuite. Je cherche donc toujours la solution miracle et, alors que j’entrais dans le temple du matériel de sport du 5e arrondissement, je dis à Sarah…
— On va regarder les gourdes ; j’en cherche toujours une qui ne fuit pas.
Un vendeur sitôt s’interpose.
— Cela n’existe pas !
Et le voilà de m’expliquer que, quel que soit le système de fermeture, le bouchon d’une gourde en métal ne peut techniquement pas être totalement étanche, surtout avec le temps. Comment faire, alors ?
— Caler la gourde correctement…
Gageure !
Cette histoires de gourdes m’intéressent.
Et d’abord, pourquoi de non fuyantes n’existent-elles pas ?
Argh ! Et moi qui n’est pas le temps de chercher.
…. Bon, je mets ça sur ma liste de questions à poser au « guichet du savoir »
http://www.guichetdusavoir.org
Je pense que c’est un problème de joint sur les gourdes en métal.
Je suis preneuse de vos investigations ! 😉 Merci.