Je lis depuis quelque temps les articles du site The Conversation pour diversifier mes sources d’information. Il m’a été conseillé par Sarah alors qu’elle cherchait des informations sur la résistance des Américain·es aux actions de leur nouveau président. Il y a des articles intéressants mais je constate souvent que la critique qui est faite de ce média dans Wikipédia est assez justifiée. Qu’importe. Certains sujets m’intéressent et j’estime être en mesure de faire la part des choses.
Je lisais donc ce matin un article sur le Vrac et sur le fait que ce mode de commerce ne serait pas si « écolo » (je vous renvoie au passage sur l’excellente analyse de Caddie). L’article de The Conversation dit se baser sur une étude mais ses conclusions me surprennent beaucoup notamment parce qu’elles prennent les consommateurs un peu pour des imbéciles (reste tranquille Caddie). Acheter en vrac relève d’une démarche particulière et nécessite une réflexion préalable.
Considérer que le consommateur ne va pas reconnaître ses produits parce qu’ils sont dans des pots en verre tout identiques sans étiquettes est assez surprenant.
Dire que de la nourriture sera gâchée parce que la date de péremption sera atteinte sans alerte pour le consommateur relève de l’ineptie quand on sait qu’il est de plus en plus avéré que les dates actuelles sont là pour faire jeter les produits et non pas pour protéger le consommateur d’une quelconque intoxication.
Invoquer la méconnaissance des modes de cuisson pour suggérer que le consommateur va jeter les aliments est ignorer qu’il existe des livres de cuisine et Internet pour se renseigner.
Insinuer que de la lessive stockée dans une bouteille de jus de fruits augmente le risque d’une absorption involontaire est négliger le fait que l’on ne range pas la lessive et le jus de fruits au même endroit.
Peut-être que je me trompe. Je n’ai pas fait d’études sur le sujet. Mais franchement, cet article me parait sans fondement.
— Bien envoyé !
Merci Caddie.