Lors d’un des exercices avec la préfecture auxquels je participe de temps en temps, la commissaire organisatrice a évoqué le scénario, un attentat. Elle utilisait l’abréviation policière de « terro ». À sa phrase « Un des terros », je suis sans aucun doute la seule dans la salle a avoir compris de prime abord « Un hétéro ». On ne se refait pas.
Comme quoi on peut arriver à rire d’un sujet dramatique.
Hétéro @4
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