Un matin d’hiver tôt, à l’autre bout de Paris, une journée de janvier, je suis à l’autre bout de Paris pour le boulot. Après la visite d’un chantier en cours, je me suis installée quelques minutes dans le bungalow où doit se tenir la réunion. En sortant, je m’aperçois que je n’ai plus mon écharpe. Offerte par Cécyle en fin d’année dernière, bien chaude, elle est la compagne idéale du moment. Cécyle me répond par texto qu’elle va m’en offrir une autre.
Je réfléchis : j’ai pu la perdre dans le métro, dans le RER, sur le chantier. Je cherche, informe Cécyle, demande à la station la plus proche, mais rien n’a été signalé sur le logiciel d’objets trouvés de la RATP. Puis, j’ai un doute : l’ai-je ou non prise ce matin-là ?
En rentrant à la maison, je la retrouve sur la patère. Bon, on va dire que j’ai commencé l’année bien fatiguée. Et on peut dire aussi qu’il ne faisait pas si froid ce matin-là, heureusement.
C’est pas un adieu, du coup. C’est un bonjour 🙂
En plus, Caddie est vexé ! C’est lui qui proposait d’aller en acheter une autre. Moi, je n’aurais pas eu cette gentillesse ! 😉
Merci beaucoup Caddie. Désolée d’avoir donné de si mauvaises nouvelles par erreur. Les Mouton sont d’accord pour que tu en achètes une autre, car depuis qu’ils ont consolé Écharpe, ils veulent bien qu’elle reste à la maison.
Ouiiiiiiiiii ! C’est une copaiiiiine.
Oh ! vous êtes tous magnifiques ! 😉 Il faudrait aussi la mettre en commentaire de Facebook pour rassurer tout le monde.
Petit Koala s’est est chaaaargééééé. Il est f*ooooo*rt.
Caddie est tout content !! Il dit que c’est mieux qu’il s’en charge plutôt que je tricote !
Merci les Mouton !!
Il est jaloux de ne pas avoir sa couverture tricotée par tes soins ?
Dès que j’ai ma ceinture et ma formation, je me remets au tricot ! J’aurai du temps ! 😉
– Ouiiiiii Vincent.
– Enf*iiiiiii*n, n*ooooo*n pas un bon jo*uuuu*r.
– Enfiiiiiiin, pluuuuuutôt un bonsoiiiiir des retrouvaiiiiiles du soiiiir.
– M’ouais, ben heureusement qu’fait pas trop froid c’jour’là.
– Biiiiiisous Vincent.
– Ouiiii, b*iiiii*sous Vincent.
– Yep, on t’bise Vincent.