Un vendredi matin, j’ai la mauvaise surprise de ne plus avoir de connexion Internet. Le samedi, il n’y a toujours rien : j’appelle pour une réclamation. Une intervention est programmée et on me prête une clé 4G si je vais dans une boutique. Je me déplace et j’ai le matériel.
Quelques jours plus tard, un technicien du service après-vente arrive sur le créneau prévu. Il est accompagné d’une femme qu’il me présente comme une personne qui va superviser son travail. Il me dit que les câbles ont été coupés dans la cage d’escalier et qu’il faut qu’un installateur vienne tirer à nouveau tout le câble. Une seconde intervention est programmée.
Je pose un second jour de congé pour accueillir le technicien. Il effectue des recherches et des tests, débranche le câble d’arrivée, le remets hors de sa prise et m’indique qu’il y a bien une connexion, qu’il a pu relancer. Le seul problème est que le signal est faible. Me voilà de nouveau avec un accès Internet, mais j’apprends que le signal permet bien d’avoir une connexion, de qualité suffisante, mais qui ne répond pas aux normes de mon opérateur. Il faut donc un autre rendez-vous. Le technicien part en riant encore sous cape de cette superviseuse qui ne lui semble qu’être qu’une copine de l’intervenant.
Troisième jour de congé, troisième intervention : deux techniciens arrivent. Ils débranchent, recherchent, testent. Le câble n’est pas coupé, le signal est bon, mais il y a une petite tige au bout qui a été cassée et provoque des parasitages. Ils changent donc le matériel et repartent. J’ai quand même dû les rattraper dans la rue pour remettre proprement l’installation. Ils m’indiquent qu’ils ont laissé la connexion en passant le câble par dessus et non pas dans la prise, car sinon il y a moins de puissance. J’ai effectué le test, aucune perte…
Ce sont vraiment des rigolos !
Et un peu bizarre.
Mais j’ai pas bien compris l’histoire de la « superviseuse ».
Je comprends que le gars était accompagnée… par une superviseuse ou une chérie ; c’est toute la question. La seconde hypothèse, faite par un autre technicien, peut être aussi une dérive sexiste. On ne saura jamais !
C’est vrais qu’en relisant, on comprend bien.
Enfin, on comprend bien qu’on ne sait pas aussi.
J’étais pas sur les rails.
Voilà qui est fait ^^
On se concentre Vincent ! On se concentre ! 😉
Vincent, désolée de ne pas avoir été plus claire.
Cécyle, merci d’avoir explicité.
Vincent, oui, la question reste ouverte… 😉
Non, c’est bon, Isabelle, vous étiez claire.
Je manquais de café. Ou de thé 🙂
… ou de coca.
… ou de… Bref 🙂
Merci Vincent. Et je compatis… 🙂