Avançant à grands pas vers la Cop 21 à Paris, je me demande s’il sera vanté une belle extravagance parisienne qu’est l’hydratation des trottoirs. Était-ce la crainte que le macadam ne souffre en cet été de canicule qui fit écho aux macchabées d’il y a quelques années ? En tous les cas, entre terre sèche, boue et bitume inondé, le terre-plein des Invalides offrait un étrange spectacle. Encore un coup des éclopés ?
Est-ce une photo de l’acte ?
Je vois pas bien. Il y a bien la boue, mais les jets vont vers la « pelouse » (si c’en est une).
Un jour viendra où l’on comprendra… non, ou l’on « sentira », que l’eau, si elle est rare, elle l’est pour tous.
Mais la distance des manques, calme bien les esprit, non ?
J’ai gaspillé de l’eau, hier. Et je suis d’autant plus coupable, que j’avais déjà lu cet article qui m’avait pourtant interpelé. 🙁
En tous cas, pour l’heure, le « paraître » est encore plus important que « l’agir ».
Et il se pourrait que ça dure…
Les tourniquets ont beaucoup disparu des espaces verts parisiens. Celui-là, certes arrosait la pelouse mais aussi le trottoir, de manière équivalente.
Cécyle a répondu avant moi. Le positionnement et le débordement sont les deux raisons de cet arrosage équivalent du trottoir. Hier soir, grand jet d’eau aussi, mais cette fois pour une « bonne raison » puisque les pompiers vérifiait la bouche d’incendie en face de chez moi. Toutefois, cela dure assez longtemps avec grosses gerbes. Au moins, la carrosserie d’une voiture a été entièrement lavée.
(mais si les médias s’emparent de cette histoire, le paraître vert(ueux) aura été perdu….)
Les médias, c’est aussi ceux que nous choisissons de lire, d’écouter ou de regarder ! 😉
En lisant Arrêt sur images, on sait déjà que le paraître est déjà partout…