Libération publie à la mi-avril 2015 un article titré Le sexe bientôt accessible aux handicapés ? À la suite d’une décision de justice, il est consacré aux formations d’assistants sexuels pour les handicapés. On peut comprendre que des personnes handicapées aient envie d’assistants sexuels, rémunérés contre caresses, câlins, masturbations et autres « services sexuels », notamment celles ne pouvant pas elles-mêmes se masturber. La journaliste écrit « les juges ont-ils ouvert la voie à la reconnaissance d’un droit à la sexualité pour les handicapés ».
J’ai bondi, car tout ce texte sous-entend que les handicapés n’ont pas de sexualité et qu’il faudrait forcément permettre la mise en place de professionnels pour leur donner ce « droit » dont ils seraient de fait exclus. J’ai été atterrée par le postulat même que les handicapés ne pourraient de fait pas rencontrer des partenaires sexuels, handicapés ou non, qui voudraient partager leur intimité, pour quelques heures ou une vie commune.
Avant une quelconque avancée juridique, une évolution des mentalités reste incontournable, même chez les journalistes de Libération.
Ça, c’est sûr ! Tous les gn’handicapés n’ont pas la chance d’avoir un kiki albinos, un qui porte-bonheur et attire tellement les foules que des fois, je me dis qu’il faudrait que je paie pour dormir tranquille. Pas vrai ?
— Si Cy ! 😉
Merci de ton soutien, Caddie !
Là làààààààà ! Faut pas dire que vous avez des pouvoirs magiques, vous allez vous faire découper en morceaux.
Je compte sur votre meute pour me protéger !
Hmmm… J’espère pour vous que vous avez une autre option.
Ma Cécylou, Oh ! touuuuute la bande vaaaaa te proooootééééger !! On veux paaaaaas que tu soiiiis découpéééééeeee. On arriiiiiive !
Oh ! merci Petit Mouton. Avec l’entraînement que tu as fait avec le cousin Shaun, je suis tranquille. Tu pourras même montrer à la meute de Salanobe comment croquer le mollet du méchant de la fourrière !
Vous verrez, Salanobe, Shaun sait bien entraîner les chiens.
Qui est Shaun ?
J’aime autant que mes chiens ignorent la violence. Dans l’élevage, il n’y a que moi qui croque (et encore, je suis bien prétentieuse !) mais je n’ai pas le temps de vous servir de chienne de garde.
Ben, c’est le copaiiiiiin Shaun !
Salut Salanobe, je t’aide : ici
C’est un suuuper copaiiiin de Petit Mouton. Je l’ai aussi rencontré, je te raconte bientôt.
Des bisoux !
Merci Petit Mouton et Petit Koala !
Des bisous aussi. Bonne journée.
Biiiiisous Salanobe ! Waaaaaouf Whaaaaf la meute !
Je vous rassure Salanobe (et vous invite à aller voir le film). La désobéissance civile et l’action non violente sont au cœur de la résistance de Shaun et ses amis chiens. Le « croquer le mollet » était une métaphore.
Moi aussi je veux pas que vous soyez découpée.
Je regarde « Blanche neige et le chasseur » pour apprendre à vous défendre et j’arrive.
Heuu… bon, j’aurais un peu de retard peut-être.
…. mmmm… Tenez bon !
Vous voulez me faire croquer une pomme empoisonnée ? Bigre !