Lors d’une discussion sur l’actualité, Cécyle me charrie à propos d’un homme politique participant au gouvernement et connaissant des déboires divers. C’est un homme que je n’ai jamais supporté en raison de son ton, de son ambition personnelle transpirant avec une suffisance de fat, de sa manière d’instrumentaliser tout sujet à son propre compte d’une façon tellement évidente. Aujourd’hui, il s’en prend plein la tête, tout en restant ministre tout de même. Je reste pour autant insensible, pas seulement parce qu’il reste ministre. Je pense que cela fait partie des risques qu’il a pris pour être en haut de l’affiche. Eh, oui ! c’est ça de ne chercher qu’à faire, comme je me suis entendue le dire, « Le kéké (en marinière) dans les journaux »… Après réflexion, je trouve que l’expression lui va comme un gant !
Mais de qui parle-t-elle ?
On se le demande ! 😉
Je l’ai croisé, dans sa prime jeunesse (et la mienne). Déjà très très ambitieux et fondamentalement… kéké !
Vous ne voyez pas qui est le « kéké en marinière » ?
Allez un indice : depuis qu’il est au gouvernement, je ne l’ai plus entendu parler de VIe République.
Et en plus il est mittal, mytho, pardon, au pluriel !!!
Pourtant, la marinière, ce n’est pas une tenue de mittal-o, mais ça le fait pour mis-à-l’eau !
Vous êtes drôles tous les deux ! 😉