Bien que je prête particulièrement attention à ma façon d’écrire, il y a des fautes que j’ai du mal à éliminer. Elles sont relatives aux participes passés et aux infinitifs. Pour m’aider à les éviter, j’utilise le procédé appris à l’école du remplacement par un verbe du troisième groupe : rarement vendre, souvent prendre, fréquemment mordre… Cela donne des phrases assez étonnantes « … que j’ai prises… », « … que j’ai mordues… ». La persistance du besoin d’utilisation de ce procédé a-t-elle un sens caché ? Hum… Je n’ose appeler le Docteur Freud pour le savoir.
« Mettre » ça marche bien aussi. Mieux que « mordre ». En l’occurrence.
C’est peut-être pour ça que je reste célibataire…