Nous sommes allées, avec Isabelle, fêter son anniversaire à Pascale autour d’un kebab-frites et de fort bons petits-fours, bougies et chant compris !
Je ne sais plus par quel chemin, notre conversation est arrivée à la question de l’opposition entre « nominalisme » et « réalisme ». J’ai avoué mon ignorance et Isabelle m’a expliqué en quelques phrases de quoi il s’agissait ; je peinais à comprendre, je n’ai pas de formation particulière en philosophie et, dès que les concepts se corsent, je sens bien qu’il me manque des outils pour comprendre…
Et là, la sentence est tombée, de la bouche même d’Isabelle : « Ton métro est, mais n’existe pas. »
Pauvre de moi ! Et comment allais-je faire, alors, pour rentrer ?
Cliquer ici pour écouter le chant d’anniversaire.
Isabelle est dans le train.
Quand l’une ou l’autre voyage, on s’offre mutuellement quelque chose à boire, par texto.
Je viens de le faire. Puis nous avons continué à échanger.
Moi : « Ton TGV est, mais n’existe pas. »
Isabelle : « Même pas mal ! »
Moi : « Rigole, car je t’offre ton Coca mais c’est toi qui le paies. »
Que va-t-elle répondre à cette haute pensée philosophique ? Suspens.
Très bon le chant d’anniversaire …
Et c’était sans répétition !