À Istanbul, comme à Athènes, l’utilisateur de toilettes publiques ou privées est invité avec force écriteaux à mettre son papier à la poubelle plutôt que dans les toilettes. J’imagine que le réseau des eaux usées est en cause. Cela reste une consigne difficile à appliquer pour la touriste que j’étais. Il y a d’abord le geste réflexe à contrarier. Il y a ensuite la question de l’état du papier, surtout pour des touristes au colon chiffonné par le voyage et le changement d’alimentation.
Vous voyez ce que je veux dire ? Je suppose que oui.
Par ailleurs, le papier disponible (absolument partout, même dans les toilettes publiques toujours impeccables !) est particulièrement fin, au cas où il atterrirait dans les toilettes, je suppose (ce qui est arrivé bien souvent avec moi, je l’avoue). Et bien cela a une conséquence d’importance : la fabrication involontaire de « boulettes de kiki », soit de petites boulettes de papier compacté qui se coincent entre les petites lèvres et en ressortent au hasard d’une culotte baissée.
Une question s’impose : peut-on considérer que la « boulette de kiki » est le fruit de la « fleur de kiki » ? What else ?
La boulette de kiki ?
Les petites lèvres en espace de rangement ?
….
Et bien. J’en apprends tous les jours. Surtout ici ! 🙂
Ça, effectivement, Vincent, si la nature vous a doté des attributs physiologiques attachés au genre de votre prénom, vous ne pouvez pas avoir de boulette de kiki coincée sous les petites lèvres.
Il faut bien que l’on vous explique alors ! 😉