Poème à mettre en musique :
« J’ai une nouvelle copine,
« elle s’appelle Co !
« Oui, c’est codé
« non, non, pas pour cocaïne,
« non, non, j’suis pas si in, juste taré
« de ma p’tite Co, ma codéine. »
Isabelle (2013)®
Poème à mettre en musique :
« J’ai une nouvelle copine,
« elle s’appelle Co !
« Oui, c’est codé
« non, non, pas pour cocaïne,
« non, non, j’suis pas si in, juste taré
« de ma p’tite Co, ma codéine. »
Isabelle (2013)®
Cela me rappelle des refrains (que j’ai oublié) des années 70 que nous fredonnions pour promouvoir la libre consommation du ca… ca… cacao ! 😉
Notre histoire est plutôt mouvementée, un vrai truc passionnel… Ce matin, vertiges et nausées. Conseil de l’infirmier : à la place de la codéine, prendre de l’ibuprofène !
J’en reprendrai quand la douleur sera plus forte, quand je vous dis que c’est une histoire passionnelle.
J’aurais dû faire médecine ! J’avais dit pareil avant de lire ton commentaire ! 😉
C’est que tu es connaisseuse en relations amoureuses.
Bon, au bout d’une semaine, déjà, des brouilles, bouh ! 😉
Quand la douleur est forte, à la place de la codéine, que je ne supporte pas, je fais un petit cocktail ibuprofène, paracétamol. Ça marche impeccable. Voilà ! C’était mon petit petit conseil du jour mais demandez quand même l’avis de votre médecin. Je ne voudrais pas avoir votre mort sur la conscience. Et de la glace et la jambe en l’air, y a rien de mieux quand l’opération est récente. Bon courage.
Chouette, un cocktail et une partie de jambe en l’air ! Certes, pas avec la chaleur d’une bombe, mais je ne vais pas mégoter, c’est toujours mieux qu’un mal de mer dans son lit (surtout que je ne suis pas sujette au mal des transports, même par mer agitée !) 😮
Merci Sandrine, je prends les conseil en tenant compte que je ne tiens pas à mourir, pas de souci ! 😉
C’est vrai que, interprété comme ça, je trouve que j’ai de très bons conseils ! 😉 Tant que le cocktail est sans alcool.
Je confirme, très bons conseils. Oh ! vous en doutiez ?
Pour l’alcool, pas trop de risque, à 70°, je laisse ça aux compresses… 😉
Moi ça me rappelle :
« Quand je suis grise
J’dis des bêtises
Et j’oublie mon gigolo
Comm’ les copines
Je me morphine
Et ça m’rend tout rigolo
Je prends de la coco
Ca trouble mon cerveau
L’esprit s’envole
Je sens mon coeur
Plein de bonheur
Je deviens folle »
(A part pour le gigolo…)
Ouf, j’ai lu jusqu’à la fin, sinon, je m’inquiétais déjà ! Quoi, étais-je déjà si atteinte par l’euphorie que j’avais oublié que.. Petit Mouton serait-il mon gigolo ? Je n’osais y croire !
Merci pour cette chansonnette à chantonner avant d’aller me coucher… 😉
C’est une chanson de Fréhel…
Il est vrai que Petit Mouton a un physique avantageux…
Mon P’tit Mouton, j’l’ai dans la peau (un bon pull en laine et un cuir ne se refusent pas comme ça !) 😉
Tu veux tanner Petit Mouton ??
Non, notre relation est au-delà des basses considérations matérielles…
Ah ! 😉