Isabelle, qui connaît mon attachement à Caddie, m’envoie un article de Libération : ses frères de sang sont en danger ! La lutte s’organise !
Je lui réponds en lui racontant mon passage à la pharmacie hier…
Une pharmacienne que je ne connais pas.
— Vous voulez un petit sac ?
— Merci, j’ai un grand caddie.
Je me retourne vers Caddie que j’avais laissé derrière moi. Elle regarde.
— Et il est très beau.
Je me tourne vers elle, cette fois, l’air affligé.
— Le problème, c’est qu’il le sait.
J’ai de la chance, elle a éclaté de rire !
Et Caddie est un tombeur !
Dans l’ascenseur hier, une copine de ma petite voisine :
— Il est beau votre Caddie !
— Il vous trouve très belle aussi.
Elle a également ri. Qu’est-ce que j’en ai, de la chance, d’avoir un entourage si complaisant ! 😉
J’affirme même qu’il est vachement beau ! 😮
Arrête ! Il roucoule !
La vache ! J’espère qu’il ne va pas s’envoler… Surtout qu’il pourrait rencontrer une Jeanne armée de sa poêle, car ne supportant pas les roucoulades, elle… Non, je ne vais pas plus loin, l’image de Caddie face à cette furie m’est insupportable !
Tu traites Caddie de pigeon à présent ?
Fais gaffe, il sait lire et a la roulette musclée ! 😉
Fut un temps où il fallait un beau sourire, ou de l’esprit pour plaire, maintenant il faut un beau caddie…quelle période matérialiste 😉
J’en ai d’ailleurs un fort joli que je ne sors jamais ; aurais-je peur du trop de succès ? Ah, quand la confiance vous quitte !!!
Osez ! 😉
C’est un plaisir de retrouver vos commentaires. Merci.