Les distributeurs automatiques sont de plus en plus sécurisés. Le renforcement de l’accès à la carte rend difficile son retrait, obligeant souvent à utiliser le bout du pouce et de l’index. Cet exercice rend sans doute impossible que quelqu’un surgisse et vole la carte en partant en courant. Au moins, la parade pour cela a été trouvée, car l’extraction de la carte est parfois bien compliquée… L’autre jour, j’ai pu constater combien elle en devient impossible pour certaines personnes âgées : un homme tentait vainement d’enlever la sienne, mais n’a pu y arriver avant que la carte ne soit avalée.
Cette sécurisation pouvait peut-être être différente, avec un accès plus bas ? plus au milieu ? ailleurs ?… Je ne sais pas, je ne suis pas spécialiste. En tous les cas, le choix retenu va à l’encontre de l’autonomie des plus fragiles, cibles faciles pour les voleurs à la tire. Le procédé dissuasif visait-il les voleurs autant que les victimes ?
Tu auras aussi remarqué que tous les DAB dit « accessibles » (donc plus bas, en effet) sont précédés systématiquement d’une marche qui empêche une personne en fauteuil de s’approcher suffisamment. Si l’on ajoute à cela le peu de lisibilité de certains écrans…
Remarque, les gn’handicapés n’ont guère besoin d’argent vu que la ville ne leur est pas accessible et que quand elle l’est, elle leur est gratuite. Que de privilèges !
Isabelle, il faut une pince à épiler toujours à disposition …
Cécyle, ça y est j’ai enfin compris pourquoi les personnes en situation de handicap étaient « riches »: elles ne peuvent pas dépenser leur argent!
Et moi, je comprends mieux pourquoi je suis poilue ! Je n’ai pas de pince à épiler… 😉
Mince, moi qui ne sors qu’avec ma pince multiprises ! Je vais devoir trouver de la place dans ma trousse à outils… 😉
je peux y remédier facilement … il me suffit d’une adresse …
Mais à laquelle de nous-deux s’adresse ce commentaire ? 😉